cheque essence !

salut a tous
Ce matin j'ai entendu a la radio que le "gouvernement" aller aider les salarier a payer leur essence avec des "cheque essence" c'est du bleuf ?

bonjour nicky,
Peu-tu nous dire à quelle radio
Si c'est vraiment le cas, il se donne bien du mal car il serait plus simple de réduire la TVA !
Je n'y crois pas mais attendons pour voir avec leur site !!!!

Moi j'ai entendu à la tv ce matin que le gouvernement allait donner un "cheque" de 30 euros par mois pour les gens qui utilisent leurs voitures pour aller travailler...
Mais pas plus de précisions...

Oui, j'ai entendu ce "scoup" moi aussi, sur Europe1, mais si c'est comme pour les tickets restaurant, tout le monde ne pourra pas en bébéficier malheureusement........Je me demande quelles seront les conditions d'obtention.....

Bonjour,
Si quelqu'un a trouvé une info sur internet (un article extrait d'un site ) , qu'il n'hésite pas à en faire profiter la communauté .
Phil.

J"ai vu cela demande d'un syndicat en date du 22/08
FO précise sa revendication


Face à l’augmentation des tarifs de l’essence, qui pèse sur les salariés, la confédération demande l’instauration d’un chèque transport sur le modèle du chèque restaurant.
«Il faut négocier au niveau des branches pour rendre obligatoire ce dispositif et que les salariés des PME aussi en bénéficient», a lancé ce matin Jean-Claude Mailly, secrétaire général de FO, au micro de Jean-Jacques Bourdin, sur RMC Info.
Il évoquait la revendication de FO consistant à instaurer un chèque transport, sur le modèle du chèque restaurant dont bénéficient les salariés du secteur privé. Pour faire face à l’augmentation importante des tarifs de l’essence, l’idée est que les salariés puissent obtenir des titres, financés en partie par le salarié, et en partie plus importante par l’employeur. Jean-Claude Mailly fixe, comme première étape, une participation patronale d’au moins 1 500 euros par an pour chaque salarié. À charge, par la négociation dans les branches et dans les entreprises, d’améliorer le montant du titre, comme cela se produit pour les chèques restaurant, qui permettent de payer ses repas dans pratiquement tous les établissements du pays.

Un "chèque transport" à l'étude

AP | 23.08.06 | 19:54


PARIS (AP) -- L'idée d'un "chèque transport", lancée par Dominique de Villepin il y a un an, semble prendre corps à l'approche de la rentrée. Afin d'atténuer les conséquences de la flambée du prix des carburants, le gouvernement étudie la mise en place dans les entreprises, sur la base du volontariat, une prime de transport pour les salariés, sur le modèle du "ticket restaurant".
La mesure pourrait être prise assez rapidement, mais les derniers arbitrages ne sont pas rendus, expliquait-on de source gouvernementale. En clair, le principe est acquis, mais les modalités d'application ne sont pas encore arrêtées.
Toutefois, dans son édition de mercredi, "Le Parisien" croit savoir que le dispositif figurera dans le projet de loi de finances 2007 présenté le mois prochain et qu'il sera applicable dès le 1er janvier prochain.
Concrètement, écrit le quotidien, les salariés devraient bénéficier, avec ce chèque, d'une prime mensuelle de l'ordre de 30 euros "selon le chiffrage retenus par les conseillers de Dominique de Villepin". Cette somme serait versée par les entreprises et utilisable ensuite dans les stations-service et très probablement en échange de titres de transports en commun. Ce dernier point ne concernerait pas les Franciliens qui voient déjà une partie (autour de la moitié) de leur "carte orange" (abonnement mensuel) remboursée.
Toutefois, toujours selon "Le Parisien", le gouvernement devrait instituer ce chèque transport sur la base du volontariat, c'est-à-dire avec l'accord des entreprises et des salariés concernés, via un accord négocié avec les représentants du personnel.
Pour inciter les entreprises à mettre en place cette prime transport, le gouvernement prévoirait, en échange, de les faire bénéficier d'un avantage ou d'un allégement fiscal.
Autre point à éclaircir: l'éventuelle participation des salariés au financement de ce chèque. Par exemple, sur un chèque de 50 euros, certains préconisent de laisser à leur charge 20 euros.
Même si les modalités exactes de cette mesure ne sont pas encore officiellement arrêtées, la Confédération générale des petites et moyennes entreprises (CGPME) a déjà prévenu qu'elle était hostile à toute charge supplémentaire pour les entreprises.
"Que l'Etat donne un avantage aux salariés, c'est très bien, mais que ce ne soit pas l'entreprise qui ait quelle que charge supplémentaire que ce soit. Si l'entreprise doit débourser et qu'il y a, en échange, un avantage fiscal identique au débours, pourquoi pas, à la limite, s'il n'y a pas trop de décalage dans le temps. Mais il ne faut pas que ça augmente en quoi que ce soit les charges de l'entreprise", a martelé Jean-François Roubaud, président de la CGPME, interrogé mercredi sur Europe-1.
En fait, les PME préféreraient une prise en charge directement par l'Etat, puisque "80% du prix (des carburants) à la pompe, c'est de la fiscalité".
De son côté, la CFDT demande au gouvernement d'engager, avant ses derniers arbitrages, une consultation avec les partenaires sociaux dans le cadre d'une "conférence des revenus" car, selon la centrale syndicale, "un chèque ne fait pas une politique des revenus".
Dès septembre 2005, le Premier ministre Dominique de Villepin avait lancé l'idée d'un "ticket transport" pour les personnes effectuant de longues distances en voiture pour aller travailler. Devant les difficultés de mise en oeuvre et l'hostilité d'une partie des entreprises et des administrations, Matignon avait laissé cette mesure dans ses cartons. AP




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Cher Serge et Nicky , avez vous des "liens" sur les pages web correspondantes ?
Phil.

Bonjours a tous
Lien FO www
Info du net
www

je suis de l'avis d'inject4tdu72 baissé la TVA ou les taxes
A++++

Merci Serge . j'ai lu !
Faudrait mettre ces liens dans la rubrique "Presse" et je ne sais pas comment faire ...
Phil.

Chèque transport: Breton confirme que le gouvernement annoncera une mesure

Voir la photo
Le ministre de l'Economie et des Finances, Thierry Breton, a confirmé jeudi que le gouvernement réfléchissait à "une mesure qui allègera la facture transports" des Français, disposition qui sera annoncée prochainement par le Premier ministre Dominique de Villepin.

"C'est exact et je vous le confirme ce matin, avec le Premier ministre, nous réfléchissons à la mise en oeuvre d'une facilité qui permettrait d'accompagner nos compatriotes qui utilisent beaucoup les transports pour se rendre sur leur lieu de travail, et alléger un peu leur facture", a déclaré M. Breton sur France 2.

"Ce sera une mesure très précise, qui ira directement dans la poche des consommateurs", a-t-il ajouté, expliquant qu'il laissait au Premier ministre "le soin de l'annoncer très prochainement".

"Ce sera l'ensemble des acteurs" qui devra mettre la main à la poche, "on est en train de finaliser tout cela", a-t-il dit.

Concernant la hausse des prix de l'énergie, "le baril augmente, mais la répercussion, parce que nous contrôlons cela de très très près avec mes services, ne va pas aussi fortement frapper la poche des consommateurs qu'on le voit sur le baril de pétrole", a dit le ministre.

Il a confirmé qu'il allait "convoquer l'ensemble des compagnies pétrolières pour voir avec elles les dispositifs et les mécanismes que nous voulons mettre pour que ces répercussions ne se passent pas trop rapidement et que le consommateur soit protégé", sans préciser de date.

Les prix à la pompe des carburants s'approchent actuellement de leurs records. Le délégué général de l'Union française des industries pétrolières (UFIP), Jean-Louis Schilansky, avait indiqué mardi que "les prix moyens à la pompe pour le sans plomb 95 sont aux alentours de 1,32-1,33 euro par litre et 1,12-1,13 pour le gazole". Cela signifie que les prix dépassent 1,40 euro dans certaines stations.

Le ministre a aussi déclaré qu'il s'attendait à une hausse du pouvoir d'achat des Français de 2,4% cette année.

"Je vois en tant que ministre des Finances que le pouvoir d'achat augmente", a-t-il déclaré le ministre. "Nous attendons cette année une augmentation de 2,4% du pouvoir d'achat des Français, ce qui est bien, ce qui est même pas mal, parce que la moyenne des 25 dernières années est à 1,9%, la moyenne des pays européens est à 1,5%", a-t-il fait valoir.

"Mais effectivement, on a l'impression que dans son porte-monnaie on en a un peu moins", a reconnu Thierry Breton, expliquant cette impression par "le fait que nos compatriotes consomment différemment". "Il y a beaucoup de dépenses aujourd'hui, -c'est ce qui me préoccupe moi, ministre des Finances-, qui sont des dépenses à travers lesquelles les Français ont l'impression d'être liés", a-t-il dit, citant le téléphone, le téléphone portable, la télévision, internet ou les contrats d'assurance.

"C'est la raison pour laquelle je souhaite qu'on ait la possibilité très vite, à l'automne, de présenter une grande loi consommation qui permettra de protéger les consommateurs", a conclu le ministre.





Le pétrole recule après la hausse surprise des stocks d'essence aux USA>>

Les prix du pétrole orientés à la baisse en raison de stocks élevés aux USA

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Les prix du pétrole restaient orientés à la baisse jeudi matin au lendemain d'un rapport ayant signalé des stocks bien plus élevés que prévu aux Etats-Unis, mais le repli était limité par une nouvelle réduction de la production en Alaska.

Sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de "light sweet crude" pour livraison en octobre baissait de 10 cents à 71,66 dollars en séance électronique vers 10H20 GMT.

A Londres, le baril de Brent de la mer du Nord perdait 8 cents à 71,94 USD sur l'échéance d'octobre.

"Les prix du brut baissent, dans le prolongement des pertes de la veille causées par des chiffres baissiers sur les stocks aux Etats-Unis", a indiqué Michael Davies, analyste à la maison de courtage Sucden.

"En particulier, la hausse surprise des réserves d'essence a compensé l'annonce d'une nouvelle réduction de la production sur le champ pétrolier de Prudhoe Bay de BP", a estimé cet analyste.

Dans son rapport hebdomadaire publié mercredi, le département américain de l'Energie (DoE) a fait état d'une hausse des stocks d'essence de 400.000 barils la semaine dernière, à la grande surprise des analystes qui tablaient sur un recul de plus de 2 millions de barils.

Le ministère a également signalé une baisse des stocks de brut moitié moins importante qu'attendu, et une augmentation quatre fois supérieure aux attentes des réserves de produits distillés (diesel et fioul de chauffage), capitaux pour l'hiver prochain.

"Les stocks sont confortables, plus confortables que ce que les gens pensaient", a réagi Tobin Gorey, analyste à la Commonwealth Bank of Australia.

Les analystes s'attendent en outre à ce que les stocks continuent de grossir lors des prochaines semaines, car l'activité des raffineries devrait accélérer davantage et la consommation d'essence, encore très forte, devrait diminuer avec la fin de la saison des grands déplacements estivaux aux Etats-Unis début septembre.

Cette perspective compensait l'annonce par BP jeudi d'une nouvelle réduction de production en Alaska à Prudhoe Bay, le plus gros champ pétrolier des Etats-Unis.

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