Je crois que notre Alsacien plus calé que moi, va se faire un plaisir de nous donner les consommations de ces "petits" engins de traction, qui doivent avoir un grand appétit quand ils remorquent de lourdes charges.
L'avenir du diesel en France et en Europe, débats pour la qualité de la vie
Le 09/01/2017 à 21h56
Je crois que notre Alsacien plus calé que moi, va se faire un plaisir de nous donner les consommations de ces "petits" engins de traction, qui doivent avoir un grand appétit quand ils remorquent de lourdes charges.
Le 10/01/2017 à 10h23
Modifié le 10/01/2017 à 10h25
Modifié le 10/01/2017 à 10h25
Il ne s'agit pas d'interdire totalement les automobiles à moteur diesel d'une façon générale, mais de limiter leur nombre à ce qui est nécessaire ou justifié pour réduire le plus possible les nuisances graves qu'elles provoquent dans les agglomérations urbaines, pas à la campagne , sur la mer , ou dans les airs , comme certains voudraient le faire croire. Des grandes ville dans le monde ont déjà pris des mesures en ce sens citons tokio et kyoto au japon qui les ont interdites d'accès et milan en italie qui les a restreintes. Mais il est vrai que dans ces cas le % d'automobilistes diesel était bien plus réduit que chez nous.
De plus les situations dans l'utilisation du diesel sont très différentes selon qu'il existe une alternative raisonnable et praticable ou pas. L'essence est de toute évidence une alternative de ce type pour les véhicules des particuliers
Pour les bateaux, il n'y a pas d'alternative, pour les camions elle n'est pas aujourd'hui raisonnable pas plus que pour les engins agricoles ni pour les trains qui ne pourront jamais tous bénéficier d'une ligne électrique.
Quant aux avions ils fonctionnent au kerosène et pas au gas oil et pour eux de toute façon pas d'alternative. Mais comme la totalité de ces engins fonctionnent loin du centre des villes , no problem
Évidemment, se dire que d'ici quelques années il sera bien difficile de revendre un véhicule diesel, surtout s'il est ancien, n'est pas réjouissant , mais il faudra bien assumer un choix qui se sera avéré inadapté sur la distance.
Il est notable que parmi les 38% de particuliers ayant acheté un véhicule diesel neuf en 2016 , 4 sur 5 ont opté pour une location vente avec option d'achat alors que seulement 2 sur 3 des acheteurs d'automobiles essence ont fait ce choix.
Les acheteurs de véhicules diesel gardent les yeux grands ouverts sur la suite prévisible et c'est très bien.
Le 10/01/2017 à 17h50
J'espère que cela n'a pas choqué les lecteurs.
Le 10/01/2017 à 22h53
En ma qualité de "cheminot raté", je dirais qu'en principe, ces types d'engins de traction consomment entre 300 et 500 litres au 100 kilomètres.
A titre d'exemple :
- une BB67000 brûle........................................2 à 300 litres aux 100 km
- pour une CC72000 ce sera de l'ordre de 400 litres aux 100 km
- pour un autorail il faut compter environ 100 litres aux 100 km
Ces valeurs ne sont qu'approximatives car tout dépend du profil de la ligne parcourue, du nombre d'arrêts et du poids tracté, etc...
Pour assurer une autonomie de 1000 km, critère habituel, la capacité des réservoirs varie entre 3400 et
5000 litres.
Notre ami Dalors signale très justement que le carburant utilisé par l'aviation n'est pas du diesel mais du kérosène. Cependant je suis persuadé que toute cette flotte dense, aérienne civile ou militaire, contribue aussi à la pollution et au réchauffement de l'atmosphère...
Le 14/01/2017 à 20h12
Des moteurs diesel vraiment à explosion
Pas de doute, en ce moment le diesel sent la poudre pour les constructeurs automobiles. Au moment où Volkswagen essayait de se tirer du bourbier juridique dans lequel l'avait plongé le "Dieselgate" de l'an dernier, en acceptant de plaider coupable et de payer 4,3 milliards de dollars pour régler ses litiges, vient d'éclater outre-atlantique une nouvelle affaire du même type qui concerne Fiat-Chrysler. Le constructeur italo-américain aurait installé des logiciels truqueurs dans 104.000 véhicules aux Etats-Unis pour réduire le niveau d'émission en oxydes d'azote de ses moteurs diesel. Et ce vendredi matin, une nouvelle étape vient d'être franchie, en France cette fois, dans le dossier Renault: trois juges d'instruction du pôle santé publique du Parquet de Paris s'apprêtent à enquêter sur les dispositifs utilisés par le constructeur français pour contrôler les émissions polluantes de ses voitures diesel. Le groupe, suspecté par la justice de "tromperie" a vu son titre reculer de près de 3% à la Bourse de Paris dans la foulée de l'information. Le risque maximum encouru serait une amende pouvant être portée à 10% du chiffre d'affaires. On n'en est pas là. Comme on aurait dit autrefois, quand la technique n'était pas aussi perfectionnée qu'aujourd'hui, la justice avance au rythme du diesel.
Deux nouvelles péripéties qui montrent une fois de plus que les constructeurs automobiles n'acceptent pas de respecter les normes d'émission d'oxyde d'azote.
Non pas qu'ils en soient techniquement incapables mais ceci impliquerait, soit un manque de rentabilité à la vente compte tenu du surcoût induit par les dispositifs anti nox, soit une baisse significative des ventes sur la plupart des modèles diesel.
Difficiles pour eux de s'y résoudre, pourtant la pression des pouvoirs publics nationaux et européens va nécessairement se durcir pour obtenir un véritable respect des normes de pollution. Ceci concernera également les véhicules essence, mais là les enjeux en surcoût de fabrication sont bien moindres.
Le 30/01/2017 à 09h44
Respecter, seulement en apparence les normes imposées, et dans le même temps avoir une consommation de carburant réduite, c'était vraiment trop tentant.
Mais les lois de la physique et celles de la chimie sont inexorables , le respect parfait des normes d'émission d'oxyde d'azote aboutit à une consommation de gas oil plus élevée . Les constructeurs le savent depuis longtemps, les automobilistes doivent dorénavant en prendre conscience preuves à l'appui , merci volkswagen !!
Le 31/01/2017 à 03h00
une pollution supplémentaire :
donc
nous n'avons rien gagné !
Le 01/02/2017 à 09h53
En intégrant les véhicules professionnels le % de véhicules diesel est de 47,9%.
Pour la première fois sous les 50%.
Mais si l'on considère les seuls véhicules des particuliers, le pourcentage tombe sous les 30% .
L'évolution inéluctable se poursuit, la prédominance du diesel dans les ventes de véhicules neufs est bel et bien terminée.
Le 18/02/2017 à 13h59
Par ailleurs des voix de plus en plus nombreuses dans les milieux politiques s'élèvent pour réclamer un controle généralisé pour tous les véhicules diesel actuellement en circulation en france de façon à mettre en évidence la réalité de la situation même si personne ne propose l'interdiction du diesel dans l'immédiat.
Ça promet !!!
Le 09/03/2017 à 08h54
Modifié le 09/03/2017 à 08h55
Modifié le 09/03/2017 à 08h55
Original, non ...?
www
désolé le lien ne fonctionne pas c5c
www
Message de l'administrateur :
Le lien de C5C est issu d'un site privé.Après une recherche, sur le 2ème lien les images sont lisibles mais proviennent d'une autre source.
Le 10/03/2017 à 13h51
Les véhicules à moteur essence me conviennent parfaitement car ils sont bien moins dangereux pour la santé publique que les véhicules à moteurs diesel.
Pour la grande majorité des utilisateurs actuels l'abandon du diesel pour l'essence ne présente aucun inconvénient ,si ce n'est à un moment donné la revente du véhicule, alors ne tardez pas amis du diesel , pour le plus grand bien de la santé publique.
Le 12/03/2017 à 17h22
DALORS
Pour la grande majorité des utilisateurs actuels l'abandon du diesel pour l'essence ne présente aucun inconvénient
Pour la grande majorité des utilisateurs actuels l'abandon du diesel pour l'essence ne présente aucun inconvénient
Oui et non.
> Pour l'achat neuf oui et si j'en avais le moyens je le ferai. Mais qu'en est-il pour l'occasion ?
La "bascule" n'est pas encore vraiment palpable selon les véhicules (routières, monospaces...).
Il faut aussi voir le kilométrage effectué. Il a tendance à bien augmenter pour la rentabilité (neuf).
D'ailleurs j'en profite pour poser la question à ceux qui suivent ce sujet : je dois changer de véhicule. Mon km/an : 16000. J'ai actuellement une familiale diesel : Laguna dci 150. Je souhaite m'orienter vers une familiale break, un monospace ou éventuellement un SUV. Essence ou diesel ? Sans me contenter d'une "petite" motorisation et sans vouloir un "dragster". Je rappelle que je cherche une voiture d'occasion (5 à 6 ans).
Des conseils sans y perdre des plumes ?
Carburants et Auto
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