L'avenir du diesel en France et en Europe, débats pour la qualité de la vie

Merci d'avoir démontré que tu n'as rien compris à ces chiffres.

Monsieur le donneur de leçons c'est vous qui ne comprenez rien aux chiffres dans votre défense effrénée d'intérêts personnels faisant fi de la santé de vos concitoyens.
Je persiste à dire que si l'on se limite à la région parisienne et à ses 63542 décès annuels, 4,7% équivalent à 2986 décès supplémentaires.
Pas d'autres commentaires.

Restez courtois, s'il vous plait !

Le débat est intéressant et montre que sur le sujet il y a des positions très différentes, mais il peut se faire sans invectives.


Non pas supplémentaires, mais prématurés : tout le monde finit par mourir un jour !
Après, il faut voir de combien est réduite l’espérance de vie.

Entièrement d'accord pour la courtoisie surtout si elle est réciproque.
J'entends bien qu'il s'agit de décès prématurés puisque tout le monde meurt un jour. Mais lorsqu'on évoque les 8000 morts annuels sur la route en france on ne parle pas de décès prématurés ni d'espérance de vie rėduite.
Pourquoi faire un distingo entre les morts instantanées et celles dérivées d'une cause indirecte ? Sur une période donnée ceci augmente bien la mortalité globale. Bon arrêtons de philosopher.
Je ne suis aucunement écolo , pour preuve s'il en faut , je suis un farouche partisan de l'électricité nucléaire nécessaire à l'économie et à la vie personnelle des français. Les éoliennes et les panneaux solaires sont très loin de pouvoir fournir nos besoins et ce pour des dizaines d'années.
Entre parenthèses , si l'on veut que la voiture électrique puisse avoir un avenir dans notre pays , il ne faut certainement pas se passer du nucléaire.
Ceci dit je suis résolument contre le diesel dans les villes depuis la fin des années 80, clichés radiologiques du cabinet d'un ami médecin à l'appui.
Même si les motoristes ont fait des progrès depuis lors, on est encore bien loin du compte , sans même parler des véhicules anciens qui continuent à circuler.
Enfin, je me plais à reconnaître que le forcing des vendeurs auto pour placer du diesel semble maintenant dépassé , il était tout de même incroyable d'avoir à se battre pour ne pas se faire imposer un véhicule diesel !!

Et je persiste à dire que tu n'as rien compris à ce que signifiaient ces chiffres. Relis ton cours de CP.

Respect et courtoisie

sont deux principes qui ont prévalu jusqu'ici sur Zagaz !

Continuons sur cette lancée en préservant ainsi
le niveau de nos échanges sur le forum...

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Une démarche de 25 maires de villes européennes , encore une initiative intéressante et significative.

" Vingt maires d'Europe, à l'initiative de la maire PS de Paris Anne Hidalgo, ont interpellé mercredi leurs gouvernements respectifs, tout en lançant une pétition ouverte à chaque citoyen, pour dénoncer la "décision injuste et erronée" de l'UE de permettre de nouvelles limites d'émissions de gaz polluants. "

d'après Le Point ...

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Article du journal les echos qui pointe le fait que les français boudent de plus en plus les voitures diesel. 38% actuellement contre 64% il y a 3 ans.
Selon l'observateur, le retournement est rapide voire violent.

Un excellent article. Les gens prennent peu à peu conscience de la nocivité du diésel sur la santé et des tromperies, magouilles diverses des constructeurs durant des années pour leur faire avaler des couleuvres et pour cacher la nocivité de ce carburant !

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L'article ci joint publié par le journal le monde dans son édition de ce jour est parlant.
Un élément supplémentaire de plus pour montrer que le problème a été largement sous-estimé et même occulté pour défendre des intérêts industriels certes non négligeables mais qui devraient s'incliner sur la distance devant les impératifs de santé publique.
Aujourd'hui les constructeurs automobiles et tous les acteurs du secteur
se préoccupent à juste titre de l'avenir et ont réuni des groupes d'analyse composés d'économistes et de spécialistes de l'automobile. Leurs conclusions aboutissent à dire que compte tenu de ce qu'est le marché automobile français et les conditions économiques actuelles ( prix de vente et du carburant , fiscalité , coût de l'entretien , km moyen ) le choix du diesel est économiquement justifié pour seulement 20 % des automobilistes qui achètent un véhicule neuf.
C'est le niveau d'achat qui est envisagé par eux à échéance 3 ans, ceci à données fiscales constantes, évidemment si on réduit l'écart de tice essence diesel !!!!

La prédominance du diesel dans le marché automobile français est bientot terminée les premiers concernés en ont pris acte c'est tant mieux.